FREAKS TRASH DEATH
Bande dessinée en développement
Scénario de Federico Ariu
Dessins de Simon Dupuis
l y a plus d'une quinzaine d'années, une autre idée a germé dans mon esprit, un projet aussi ambitieux que Menda City qui, en 2024, a repris vie avec un élan nouveau. Aujourd'hui, je suis ravi de vous présenter "Freaks Trash Death", une série de bande dessinée actuellement en développement.
Que se passerait‐il si du jour au lendemain plus personne ne mourait ?
De cette pensée est née Freaks Trash Death et l’idée de développer ce thème via une série de bande dessinée, sous forme d’un Comics en 24 épisodes. L’idée que plus personne ou que n’importe quel organisme vivant sur terre ne puisse mourir m’a fait réfléchir sur toutes les conséquences possibles et inimaginables qu’offrait ce thème riche en situations.
Imaginez si demain matin au Journal Télévisé vous
appreniez que la Mort a été vaincue et que plus personne ne pourrait mourir.
Imaginez ce que ça donnerait si les maladies continuaient à se développer sans que l’on puisse arriver à les guérir.
Imaginez que des personnes profitent de la situation pour explorer de nouveaux concepts de vie et défier les sciences d’aujourd’hui. Imaginez encore que votre corps malade soit devenu un fardeau de souffrance et qu’il vous est impossible de mettre fin à vos souffrances en espérant mourir. Ce thème offre beaucoup de développements possibles, et j’ai choisi de la raconter via la principale responsable de cette situation : Sahara, une jeune fille de 18 ans, assez grungy et effrontée, qui arrive à échapper à la Mort et à lui porter un coup fatal. Elle est celle par qui le désastre arrive, et la seule à pouvoir inverser la tendance. De retour de son périple au pays des Morts elle va rapidement se rendre compte de son erreur et devra trouver le moyen, aidée par ses amis, de rétablir le cycle de la vie et de la mort, pour que les gens puissent enfin mériter leur dernier repos.
Ce qui est pris au début comme un miracle va vite tourner au cauchemar, une sorte d’enfer sur Terre. Et la plupart
finiront par regretter l’époque où les gens avaient encore la chance de mourir.